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ERD29 -
posté le 31/01/2014 à 11:23:49 (1 messages postés)
| | Salouté les gens !
Anthony, 31 ans, je viens découvrir le monde de RPG Maker.
Je ne suis pas franchement doué pour ce qui est du script, bon, j'essaie de m'améliorer.
Sinon, je m'amuse bien question graphisme, je travaille sur Photoshop ou de temps en temps GIMP, muni d'un tablette graphique type A4, j'ai de quoi faire !
Pour l'heure, je suis sur un projet, RINJI. J'ai quelque chose en tête, et je cherche des idées par ci par là. J'ai commencé à donner quelques coups de crayons, mais rien n'est encore figé.
Bon jeu à vous.
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| Réalisateur de chez Lidl | 
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Réalisateur ça veut dire que je fais des films. Viens les voir si tu l'oses. | ༼ つ ◕_◕ ༽つ | Saka ressuscite les angles morts. | Gloria Papoum 1, 2, 3 | ( ͡° ͜ʖ ͡°) | L'avenir se demande ce que Saka lui réserve. | Père Clochard | Saka a dépucelé la forêt vierge. | Viens découvrir les coutumes Oniromanciennes. | (ง ͠° ͟ل͜ ͡°)ง | Coucou, tu veux voir mon site ? | ꀎ 囧 |
Lidagan -
posté le 31/01/2014 à 13:18:20 (3486 messages postés)
| [insert queer propaganda] | Bienv'nue
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Anciennement Adalia - PP : https://cheesewoo.com/ |
| Réalisateur de chez Lidl | Yamashi sérieusement, trop de n'importe quoi tue le n'importe quoi.
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Réalisateur ça veut dire que je fais des films. Viens les voir si tu l'oses. | ༼ つ ◕_◕ ༽つ | Saka ressuscite les angles morts. | Gloria Papoum 1, 2, 3 | ( ͡° ͜ʖ ͡°) | L'avenir se demande ce que Saka lui réserve. | Père Clochard | Saka a dépucelé la forêt vierge. | Viens découvrir les coutumes Oniromanciennes. | (ง ͠° ͟ل͜ ͡°)ง | Coucou, tu veux voir mon site ? | ꀎ 囧 |
Lidagan -
posté le 31/01/2014 à 15:04:56 (3486 messages postés)
| [insert queer propaganda] | Il est même loin d'être poétique xD et c'est loin d'être la seule faute celle que tu as relevée x)
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Anciennement Adalia - PP : https://cheesewoo.com/ |
Lidagan -
posté le 31/01/2014 à 15:37:02 (3486 messages postés)
| [insert queer propaganda] | J'en vois sept, mais je suis à peu près sûr que tu n'as pas compté la faute de typologie (l'espace manquant avant un point d'interrogation), me trompe-je ?
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Anciennement Adalia - PP : https://cheesewoo.com/ |
Hellper -
posté le 31/01/2014 à 15:43:32 (5402 messages postés)
| Tonton Hellper | Oui. En fait je n'ai pas compté celle que j'avais signalée, puisque j'ai dis 6 autres 
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La liste des raisons pour lesquelles le making se meurt, la cinquième va vous étoner | Des projets abandonnés, source d'inspiration :D | Mes jeux |
Lidagan -
posté le 31/01/2014 à 16:37:53 (3486 messages postés)
| [insert queer propaganda] | J'en compte huit en tout donc sept autres 
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Anciennement Adalia - PP : https://cheesewoo.com/ |
Hellper -
posté le 31/01/2014 à 16:42:02 (5402 messages postés)
| Tonton Hellper | Bah je vais mettre en gras celles que je vois et tu me corrigera si yen a en plus.
Yamashi a dit:
Comme c'est mon 200eme message, je vais répondre poétiquement:
Le n'importe quoi, c'est comme un cigare cubain avec un peu d'arôme de menthe, c'est jolie et on ne s'en passe plus une fois qu'on a mis le nez dedans! Grâce au n'importe quoi, je suis un homme changé. Je suis passer du state de "jeune homme sérieux" au state "jeune fou". Et comme tout être civilisé, je sait quant il faut être sérieux (par exemple, dans la partie "vos jeux et projets", je suis sérieux), mais quant l'occasion se présente à moi, je ne loupe pas l'occasion de dire du n'importe quoi. Et je suis sûr que je ne suis pas le seul dans cette situation.
|
Ok j'ai vu la faute que j'avais pas repérée avant. Il s'agit du second "quant".
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La liste des raisons pour lesquelles le making se meurt, la cinquième va vous étoner | Des projets abandonnés, source d'inspiration :D | Mes jeux |
Hellper -
posté le 31/01/2014 à 17:22:00 (5402 messages postés)
| Tonton Hellper | Non. La manière d'écrire fait n'importe quoi. Mais il suffit pas de faire n'importe quoi pour faire poétique.
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La liste des raisons pour lesquelles le making se meurt, la cinquième va vous étoner | Des projets abandonnés, source d'inspiration :D | Mes jeux |
Mr drerrawyn -
posté le 31/01/2014 à 17:22:10 (1694 messages postés)
| Le | Bienvenue
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Gurraë -
posté le 31/01/2014 à 19:29:48 (2094 messages postés)
| (RIP) | Yamashi a dit:
Comme c'est mon 200eme message, je vais répondre poétiquement:
Le n'importe quoi, c'est comme un cigare cubain avec un peu d'arôme de menthe, c'est jolie et on ne s'en passe plus une fois qu'on a mis le nez dedans! Grâce au n'importe quoi, je suis un homme changé. Je suis passer du state de "jeune homme sérieux" au state "jeune fou". Et comme tout être civilisé, je sait quant il faut être sérieux (par exemple, dans la partie "vos jeux et projets", je suis sérieux), mais quant l'occasion se présente à moi, je ne loupe pas l'occasion de dire du n'importe quoi. Et je suis sûr que je ne suis pas le seul dans cette situation.
|
"La frite bien grasse
Est une traitresse
On voit sa trace
Sur mes deux fesses"
Vienvenue ERD29 !
|
(RIP) |
Hellper -
posté le 31/01/2014 à 19:43:39 (5402 messages postés)
| Tonton Hellper | Gurraë a dit:
"La frite bien grasse
Est une traitresse
On voit sa trace
Sur mes deux fesses"
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Il n'y a pas le même nombre de syllabes pour chaque vers !

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La liste des raisons pour lesquelles le making se meurt, la cinquième va vous étoner | Des projets abandonnés, source d'inspiration :D | Mes jeux |
Gurraë -
posté le 31/01/2014 à 20:07:44 (2094 messages postés)
| (RIP) | Dit ça à Quinn : >.
|
(RIP) |
verehn -
posté le 31/01/2014 à 20:30:53 (9058 messages postés)
-  | Vhehrhehn | Bienvenue.
|
Eldrao ~ PakuPaku ~ Winged Light ~ Ruin ~ Ma galerie ~ LTDAD ~ Don de graphismes plateforme 2D |
Gurraë -
posté le 31/01/2014 à 21:26:55 (2094 messages postés)
| (RIP) | Hellper a dit:
Osef de quinn
|
Ben alors osef de ce poème !
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(RIP) |
Gurraë -
posté le 31/01/2014 à 22:29:27 (2094 messages postés)
| (RIP) | Justement c'est là tout l'intérêt...
De mettre quelque chose qui ne sert à rien...
C'est intéressant...
DE TOUTE MANIERE JE T'AIME PLUS PARCE QUE TU CORRIGES MÊME PAS MES FÔTES !!!
|
(RIP) |
Hellper -
posté le 31/01/2014 à 22:33:39 (5402 messages postés)
| Tonton Hellper | Allez pour te remonter le morale je te met un petit poème de Victor Hugo :
Spoiler (cliquez pour afficher) Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ?
Le couchant rayonnait dans les nuages roses ;
C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident
Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ;
Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie,
Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ;
Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur.
(Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ?
Hélas ! le bas-empire est couvert d'Augustules,
Les Césars de forfaits, les crapauds de pustules,
Comme le pré de fleurs et le ciel de soleils !)
Les feuilles s'empourpraient dans les arbres vermeils ;
L'eau miroitait, mêlée à l'herbe, dans l'ornière ;
Le soir se déployait ainsi qu'une bannière ;
L'oiseau baissait la voix dans le jour affaibli ;
Tout s'apaisait, dans l'air, sur l'onde ; et, plein d'oubli,
Le crapaud, sans effroi, sans honte, sans colère,
Doux, regardait la grande auréole solaire ;
Peut-être le maudit se sentait-il béni,
Pas de bête qui n'ait un reflet d'infini ;
Pas de prunelle abjecte et vile que ne touche
L'éclair d'en haut, parfois tendre et parfois farouche ;
Pas de monstre chétif, louche, impur, chassieux,
Qui n'ait l'immensité des astres dans les yeux.
Un homme qui passait vit la hideuse bête,
Et, frémissant, lui mit son talon sur la tête ;
C'était un prêtre ayant un livre qu'il lisait ;
Puis une femme, avec une fleur au corset,
Vint et lui creva l'œil du bout de son ombrelle ;
Et le prêtre était vieux, et la femme était belle.
Vinrent quatre écoliers, sereins comme le ciel.
– J'étais enfant, j'étais petit, j'étais cruel ; –
Tout homme sur la terre, où l'âme erre asservie,
Peut commencer ainsi le récit de sa vie.
On a le jeu, l'ivresse et l'aube dans les yeux,
On a sa mère, on est des écoliers joyeux,
De petits hommes gais, respirant l'atmosphère
À pleins poumons, aimés, libres, contents ; que faire
Sinon de torturer quelque être malheureux ?
Le crapaud se traînait au fond du chemin creux.
C'était l'heure où des champs les profondeurs s'azurent ;
Fauve, il cherchait la nuit ; les enfants l'aperçurent
Et crièrent : « Tuons ce vilain animal,
Et, puisqu'il est si laid, faisons-lui bien du mal ! »
Et chacun d'eux, riant, – l'enfant rit quand il tue, –
Se mit à le piquer d'une branche pointue,
Élargissant le trou de l'œil crevé, blessant
Les blessures, ravis, applaudis du passant ;
Car les passants riaient ; et l'ombre sépulcrale
Couvrait ce noir martyr qui n'a pas même un râle,
Et le sang, sang affreux, de toutes parts coulait
Sur ce pauvre être ayant pour crime d'être laid ;
Il fuyait ; il avait une patte arrachée ;
Un enfant le frappait d'une pelle ébréchée ;
Et chaque coup faisait écumer ce proscrit
Qui, même quand le jour sur sa tête sourit,
Même sous le grand ciel, rampe au fond d'une cave ;
Et les enfants disaient : « Est-il méchant ! il bave ! »
Son front saignait ; son œil pendait ; dans le genêt
Et la ronce, effroyable à voir, il cheminait ;
On eût dit qu'il sortait de quelque affreuse serre ;
Oh ! la sombre action, empirer la misère !
Ajouter de l'horreur à la difformité !
Disloqué, de cailloux en cailloux cahoté,
Il respirait toujours ; sans abri, sans asile,
Il rampait ; on eût dit que la mort, difficile,
Le trouvait si hideux qu'elle le refusait ;
Les enfants le voulaient saisir dans un lacet,
Mais il leur échappa, glissant le long des haies ;
L'ornière était béante, il y traîna ses plaies
Et s'y plongea, sanglant, brisé, le crâne ouvert,
Sentant quelque fraîcheur dans ce cloaque vert,
Lavant la cruauté de l'homme en cette boue ;
Et les enfants, avec le printemps sur la joue,
Blonds, charmants, ne s'étaient jamais tant divertis ;
Tous parlaient à la fois et les grands aux petits
Criaient : «Viens voir! dis donc, Adolphe, dis donc, Pierre,
Allons pour l'achever prendre une grosse pierre ! »
Tous ensemble, sur l'être au hasard exécré,
Ils fixaient leurs regards, et le désespéré
Regardait s'incliner sur lui ces fronts horribles.
– Hélas ! ayons des buts, mais n'ayons pas de cibles ;
Quand nous visons un point de l'horizon humain,
Ayons la vie, et non la mort, dans notre main. –
Tous les yeux poursuivaient le crapaud dans la vase ;
C'était de la fureur et c'était de l'extase ;
Un des enfants revint, apportant un pavé,
Pesant, mais pour le mal aisément soulevé,
Et dit : « Nous allons voir comment cela va faire. »
Or, en ce même instant, juste à ce point de terre,
Le hasard amenait un chariot très lourd
Traîné par un vieux âne éclopé, maigre et sourd ;
Cet âne harassé, boiteux et lamentable,
Après un jour de marche approchait de l'étable ;
Il roulait la charrette et portait un panier ;
Chaque pas qu'il faisait semblait l'avant-dernier ;
Cette bête marchait, battue, exténuée ;
Les coups l'enveloppaient ainsi qu'une nuée ;
Il avait dans ses yeux voilés d'une vapeur
Cette stupidité qui peut-être est stupeur ;
Et l'ornière était creuse, et si pleine de boue
Et d'un versant si dur que chaque tour de roue
Était comme un lugubre et rauque arrachement ;
Et l'âne allait geignant et l'ânier blasphémant ;
La route descendait et poussait la bourrique ;
L'âne songeait, passif, sous le fouet, sous la trique,
Dans une profondeur où l'homme ne va pas.
Les enfants entendant cette roue et ce pas,
Se tournèrent bruyants et virent la charrette :
« Ne mets pas le pavé sur le crapaud. Arrête ! »
Crièrent-ils. « Vois-tu, la voiture descend
Et va passer dessus, c'est bien plus amusant. »
Tous regardaient. Soudain, avançant dans l'ornière
Où le monstre attendait sa torture dernière,
L'âne vit le crapaud, et, triste, – hélas ! penché
Sur un plus triste, – lourd, rompu, morne, écorché,
Il sembla le flairer avec sa tête basse ;
Ce forçat, ce damné, ce patient, fit grâce ;
Il rassembla sa force éteinte, et, roidissant
Sa chaîne et son licou sur ses muscles en sang,
Résistant à l'ânier qui lui criait : Avance !
Maîtrisant du fardeau l'affreuse connivence,
Avec sa lassitude acceptant le combat,
Tirant le chariot et soulevant le bât,
Hagard, il détourna la roue inexorable,
Laissant derrière lui vivre ce misérable ;
Puis, sous un coup de fouet, il reprit son chemin.
Alors, lâchant la pierre échappée à sa main,
Un des enfants – celui qui conte cette histoire, –
Sous la voûte infinie à la fois bleue et noire,
Entendit une voix qui lui disait : Sois bon !
Bonté de l'idiot ! diamant du charbon !
Sainte énigme ! lumière auguste des ténèbres !
Les célestes n'ont rien de plus que les funèbres
Si les funèbres, groupe aveugle et châtié,
Songent, et, n'ayant pas la joie, ont la pitié.
Ô spectacle sacré ! l'ombre secourant l'ombre,
L'âme obscure venant en aide à l'âme sombre,
Le stupide, attendri, sur l'affreux se penchant,
Le damné bon faisant rêver l'élu méchant !
L'animal avançant lorsque l'homme recule !
Dans la sérénité du pâle crépuscule,
La brute par moments pense et sent qu'elle est sœur
De la mystérieuse et profonde douceur ;
Il suffit qu'un éclair de grâce brille en elle
Pour qu'elle soit égale à l'étoile éternelle ;
Le baudet qui, rentrant le soir, surchargé, las,
Mourant, sentant saigner ses pauvres sabots plats,
Fait quelques pas de plus, s'écarte et se dérange
Pour ne pas écraser un crapaud dans la fange,
Cet âne abject, souillé, meurtri sous le bâton,
Est plus saint que Socrate et plus grand que Platon.
Tu cherches, philosophe ? Ô penseur, tu médites ?
Veux-tu trouver le vrai sous nos brumes maudites ?
Crois, pleure, abîme-toi dans l'insondable amour !
Quiconque est bon voit clair dans l'obscur carrefour ;
Quiconque est bon habite un coin du ciel. Ô sage,
La bonté, qui du monde éclaire le visage,
La bonté, ce regard du matin ingénu,
La bonté, pur rayon qui chauffe l'inconnu,
Instinct qui, dans la nuit et dans la souffrance, aime,
Est le trait d'union ineffable et suprême
Qui joint, dans l'ombre, hélas ! si lugubre souvent,
Le grand innocent, l'âne, à Dieu le grand savant.
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