Sylvanor - posté le 08/02/2023 à 00:06:25. (24804 messages postés) -
Citation:
À vous lire (Ephy et Sylvanor), il y a un aspect de 'bosser' par contre. Vous vous forcez parfois à travailler sur votre projet. J'ai dans l'optique que si je fais une bonne planification pour mon projet, je prendrai toujours plaisir à travailler dessus, c'est peut-être une erreur de ma part.
C'est impossible de prendre toujours plaisir à travailler sur ton projet.
Il y aura toujours phases pénibles: programmer des systèmes, dessiner des éléments de décor sans grand intérêt (la 254ème table, le 569ème tabouret...), les tests et le debug...
Si tu attends d'être dans un moment où tu trouveras ça cool de le faire, ce moment n'arrivera jamais ou bien tu mettras 150 ans à faire ton jeu.
Il faut s'y faire, s'habituer au fait que ça va comprendre des moments galère, mais que tu le feras, la question ne se pose pas, un peu comme le fait qu'il faille aller au boulot le matin, faire le ménage, la cuisine, sortir les poubelles... On repousse pas ces trucs-là ad vitam jusqu'à espérer être dans un état d'esprit favorable, on le fait quoi qu'il arrive. Ben là c'est pareil.
En fait il faut sortir du système où tu te poses la question "est-ce que je bosse sur mon projet aujourd'hui?": évidemment que tu le bosses! Se poser la question c'est déjà être sur la piste de l'abandon, malheureusement.
Citation:
Comment vous en arrivé à vous fixer sur le concept de base? Pour ne plus changer d'idée? À respecter votre 'game loop' et ne pas vouloir tout jeter?
En fait il faut adapter ton projet à qui tu es.
Quand j'ai commencé Aë j'étais un ado de 16 ans, je ne savais qu'une chose: j'adorais les RPG, en particulier les RPG sur PC non linéaires, et je voulais faire ça. Heureusement, ce fondement n'a pas changé.
Mais je ne suis plus l'ado de 16 ans que j'étais. J'ai maintenant une manière de voir le monde, des goûts plus fins, des opinions politiques, des thèmes qui me sont chers... Et j'ai adapté mon projet à ça, en enrichissant mes personnages, en réécrivant certains dialogues, en changeant la suite de mon projet (les parties qui n'étaient pas encore faites), en transformant les quêtes annexes.
Tu vois, par exemple, le méchant de mon jeu, Alzarith, eh bien l'idée de départ c'est que c'est le frère d'Irzyka, et je ne sais plus trop comment ça s'est amené mais rapidement je l'ai défini comme étant amoureux de sa soeur.
Bon et puis avec les années je me suis dit bof, le thème de l'inceste c'est pas trop un truc qui me parle. Et sur la dernière version, c'est un personnage beaucoup plus axé sur la solitude, le fait d'avoir perdu tous ses proches et à qui il ne reste plus que sa soeur, qui craint de la perdre aussi, et pour qui la famille est quelque chose d'important: ce sont des thématiques qui me parlent plus, auxquelles je m'identifie plus (même si je n'ai ni frère ni soeur).
Ensuite eh bien il y a le fait que tu peux toujours changer le gameplay de ton jeu pour le faire évoluer, pour ma part je n'ai pas hésité à le faire souvent. Ca peut sembler téméraire mais si tu te dis que ton jeu sera vraiment meilleur, faut le faire, il faut que tu croies en ton jeu et pas que tu te dises bof, j'ai plein d'idées mais je m'interdis de le faire, ce sera pour autre chose... Et tu penses déjà à autre chose, du coup.
Je pense que c'est un peu ça l'idée, avec le temps ta sensibilité va évoluer, et tu resteras accroché à ton projet s'il est lié à des choses qui te sont chères. Il faut que quand tu lances ton projet tu te dises "ça, c'est moi".
Heureusement quand on est adulte, on change moins (et de moins en moins je pense avec l'âge).
Citation:
Ce qu'explique Sylvanor, pour ma part, je le comprends plus comme une addiction. Il dit ne pas avoir de sentiment particulier mais une sensation de manque (ou d'oubli ?)
Non c'est pas vraiment ça, parce que je me sens vachement bien quand j'ai sorti ma démo et que j'ai plein de temps pour faire autre chose.
C'est pas du manque, ça me manque pas, de pas maker, pas du tout. Par contre ça me manquerait de créer si je ne créais plus (là en ce moment je dessine).
Ce que je décris c'est plutôt une habitude tellement ancrée dans ton quotidien que ça te fait bizarre quand tu commences à ne plus la suivre.
Les croissants croâssent en croix, s'ancrent ou à cent croîssent sans crocs à sang. Crois! Sens! ౡ
Sylvanor - posté le 06/02/2023 à 20:38:42. (24804 messages postés) -
Je pense que Nemau ne déteste pas Avatar, il s'agace juste de voir autant de gens l'aimer.
Sinon j'ai jamais trop aimé Indiana Jones, y compris le premier. Le 2 m'a fortement agacé avec la nana complètement cruche pendant une grande partie du film, et alors le 3 je l'ai trouvé d'un ennui mortel.
Mais la fin du 2 est plutôt cool et en fait je pense que c'est mon "préféré" même si je ne l'aime quand même pas beaucoup.
Mais je ne trouve pas qu'ils aient spécialement vieilli. Bien sûr ils respirent l'ambiance des années 80 mais j'aime bien justement. C'est plutôt que ce sont des films qui ne me parlent pas.
L'usage de la musique en revanche est daté, surtout dans le 2, qui a de la musique en fond presque non stop, c'est comme si on avait dit à John Williams de composer une musique de fond continue pour tout le film. Aujourd'hui on ne ferait plus comme ça, la musique au cinéma aujourd'hui c'est placé durant des moments clefs. Je ne sais plus si c'est fait comme ça dans les autres, en tous cas c'est dans le 2 que ça m'a marqué.
Les croissants croâssent en croix, s'ancrent ou à cent croîssent sans crocs à sang. Crois! Sens! ౡ
Sylvanor - posté le 06/02/2023 à 19:11:54. (24804 messages postés) -
Pour travailler longtemps sans se décourager la solution clef c'est de créer une habitude, je pense.
C'est-à-dire que ça doit devenir un automatisme: tu rentres chez toi après le boulot, la question ne se pose même pas, tu sais que tu vas maker.
Et si tu ne le fais pas, ça crée un vide en toi, un sentiment désagréable car tu sais que tu n'as pas fait quelque chose que tu aurais dû faire, quelque chose d'incontournable, de non négociable. Je me dis même pas que ça va être chiant, ou que ça va être cool, ça n'évoque en moi aucun sentiment, c'est comme ça, je make, c'est devenu naturel.
Et plus le temps passe plus cette habitude se renforce, fait partie de toi, tu n'as plus besoin de réfléchir.
Et quand vient le moment où je sors une démo ça me fait un drôle d'effet de faire une pause, j'ai tout à coup une montagne de temps libre, il me faut du temps m'y habituer.
Par contre évidemment ça demande d'avoir de la disponibilité. Ce n'est pas facile de garder une habitude aussi chronophage quand on a une vie de famille, ou qu'on veut accorder une place conséquente à d'autres loisirs.
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Sylvanor - posté le 05/02/2023 à 19:08:56. (24804 messages postés) -
Dur Flaco.
Je connais bien ça j'ai eu mon permis à la troisième tentative.
Je n'aime pas conduire, je suis pas à l'aise, je conduis rarement. J'avais roulé plus de 60 heures avant de l'obtenir, ça a fait un sacré budget, je crois que je payais à peu près comme toi.
Le coup du rond point c'est vraiment de la mauvaise foi, c'est courant de rester à droite même quand tu sors à gauche surtout quand y a plein de monde. Et oublier une fin de limitation c'est pas bien gênant. Enfin bref.
Bon courage.
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Sylvanor - posté le 05/02/2023 à 19:05:06. (24804 messages postés) -
Oui exact, ça dépasse la simple histoire de rédemption, je me le suis dit pendant le film et j'ai oublié d'en parler, il y a bien sûr un discours sur la société, et sa manière de percevoir et d'exploiter ce qu'il y a de bon et d'extraordinaire en l'autre. De ce point de vue le film est assez pessimiste, même s'il garde toujours un ton burlesque.
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Sylvanor - posté le 04/02/2023 à 23:58:32. (24804 messages postés) -
Vu aussi. Ben alors on est samedi soir, où sont les autres?
C'était excellent.
Déjà il faut saluer le fait d'avoir un long métrage d'animation qui ne s'adresse pas à la jeunesse, ce qui est bien trop rare.
Sur la forme il y aurait beaucoup à dire, c'est super créatif: les séquences en vue subjective, les gros plans sur les détails, objets, angles de caméras rigolos (genre la caméra dans le fond du verre), les transitions entre les plans (transformation d'une aile découpée en une cuillère), bref c'est super inventif et malin, un vrai bonheur. C'est rare de voir des films qui osent autant de trucs.
Le film est rempli de scènes très drôles, on sourit, on rit, c'est à la fois drôle, un peu poétique, et un peu sale.
Le fait que le film soit muet ajoute encore à sa forte personnalité.
Visuellement c'est pas très léché, pas très détaillé, les persos affreux, mais c'est beau quand même. Une belle harmonie de couleurs, un dessin qui a du caractère, on est loin des bonshommes en mousse de Pixar.
L'animation est assez saccadée, c'est le petit défaut (qu'on comprend quand on sait que Bill est presque tout seul, du coup on pardonne), ce n'est pas gênant, on s'habitue vite, même si on ne peut se dire que ça aurait été magnifique si ça avait été plus fluide.
Le propos n'est pas super original (un antihéros trouve la rédemption et devient bon par la suite d'une transformation, les ailes qui lui poussent dans le dos, on le voyait venir très vite), mais la manière dont les choses sont amenées, présentées, font qu'on ne s'ennuie jamais et qu'on a quand même des surprises, car l'enchaînement des événements reste amusant, bien trouvé, jamais mièvre.
Bref voilà c'était super, bourré de bonnes idées.
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Sylvanor - posté le 03/02/2023 à 20:37:12. (24804 messages postés) -
Ce qui est bien avec Krita c'est que l'interface ressemble à Photoshop. Donc si on connaît un peu Photoshop on n'est pas perdu.
Moi quand j'ouvre Gimp je sais jamais où faut aller pour trouver ce que je veux, je dois tout réapprendre.
Krita est cool, il manque des trucs mais c'est bien. Juste j'aime pas sa gestion des brosses, que je trouve confuse, il mélange les brosses et les outils (genre l'outil Clône / tampon de duplication est à trouver dans les brosses), je trouve qu'en termes de conception c'est bancale et pas intuitif. Y a des trucs bizarres genre pas de réglage de la luminosité il faut passer par les courbes pour obtenir l'équivalent.
Mais une fois qu'on sait où trouver ce qu'on veut c'est un bon logiciel, plus axé dessin que retouche photo je pense quand même.
Au quotidien je l'utiliserai jamais, Photoshop est pour moi nettement meilleur, mais c'est ce que j'ai trouvé qui s'en rapproche le plus en gratuit.
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Sylvanor - posté le 03/02/2023 à 20:30:31. (24804 messages postés) -
Je pense que tu as fait le bon choix Flaco, j'espère que ça va le faire et que tu seras bien là où tu es.
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Au bahut j'ai une heure avec deux collègues tous les vendredis soirs où on fait bosser les élèves sur des émissions de webradio qu'on diffuse ensuite en interne sur l'ENT (le site en accès privé) du collège.
Le sujet du groupe qui passait aujourd'hui était l'année 2012 (pour le changement d'année on a réparti entre les élèves des sujets type "il y a 10 ans", "il y a 50 ans", "dans 50 ans etc...").
Ils devaient parler de ce qui s'était passé d'un point de vue culturel, sanitaire, technologique, etc.
A un moment donné un élève aborde la question culturelle et commence...
"En 2012, la démo d'un jeu vidéo nommé Aëdemphia est sortie, développé par un certain Sylvain Dolisi..."
Sans prévenir de rien, ils m'avaient fait la surprise les canailles. La collègue qui était dans la salle d'enregistrement n'était au courant de rien, elle a fait une tête pas possible. On a bien rigolé, ils avaient tout cherché en cachette, ils étaient aussi tombés sur le forum, donc ici.
Je leur ai dit bien joué et que la surprise m'avait fait plaisir mais on l'a pas gardé au montage. Je leur ai expliqué que ce n'était pas un secret mais que c'était personnel et que je préférais rester discret à ce sujet.
Ce n'est pas la première fois que des élèves m'en parlent, mais ça reste très rare.
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Sylvanor - posté le 03/02/2023 à 00:14:44. (24804 messages postés) -
Citation:
Botanicula était très mignon et sympa, j'avais bien aimé.
J'ai aussi fait Creaks, qui était un bon petit jeu de puzzle avec une belle DA.
Et évidemment Machinarium, qui est sûrement leur jeu le plus abouti/complet.
Machinarium oui déjà fait, très bien.
Botanicula je suis dedans, assez génial, par contre assez dur j'ai déjà eu besoin de la soluce plusieurs fois, il y a quelques trucs plus ou moins indevinables je trouve ou mal pensés en termes de gameplay qui font qu'on est induit en erreur. Mais pas grand chose.
Visuellement c'est splendide, en fait en voyant les screens j'accrochais pas trop mais en jeu avec les anims et les sons c'est un vrai bonheur.
Creaks j'ai pas fait, ça a l'air cool, mais j'aime pas l'animation ça ressemble à un truc flash cheapos avec des rotations/déformations de membres pour les personnages, bon sûrement que le jeu est super mais ça me fait pas très envie.
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Sylvanor - posté le 03/02/2023 à 00:01:01. (24804 messages postés) -
Le trailer a l'air carrément sympa mais j'ai l'impression que ça se passe vachement plus en intérieur qu'en extérieur non? Ton screen avec la ville est super et puis on la voit genre 3 secondes dans tout le trailer.
En tous cas super direction artistique, ça rappelle un peu Jet Set Radio.
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Sylvanor - posté le 02/02/2023 à 23:43:30. (24804 messages postés) -
Citation:
Par curiosité, quels films d'horreur t'ont fait vivre celà?
Y en a pas beaucoup.
Aujourd'hui ce sont des classiques: Alien et Shining par exemple y étaient bien parvenus.
J'aime bien aussi les films de Carpenter, là comme ça je pense à Christine avec sa voiture maléfique, ça m'avait bien plu, c'était original et ça donnait lieu à des scènes très cools. Il y a bien sûr The Thing aussi mais j'ai plus d'affection pour Christine.
Plus récent mais déjà un peu vieux, j'avais pas mal accroché à Rec avec sa vue subjective.
J'avais bien aimé Répulsion de Polanski avec ses scènes de paranoïa dans l'appartement dont on ne sait pas trop s'il est maudit ou si on est dans le délire de l'héroïne.
La Mouche, mais c'est plus rigolo qu'effrayant, enfin la transformation du mec c'était un sacré délire, on se demande jusqu'où ça va aller. Chez Cronemberg j'avais bien aimé aussi Videodrome, c'est bien trash, mais je pense pas qu'on puisse parler de film d'horreur, enfin on est pas très loin. Les vieux Cronemberg j'aime vraiment beaucoup.
La nuit des morts vivants, le vieux classique de 68 j'ai bien aimé aussi mais plus pour le côté huis clos / film psychologique que le côté horreur.
Ça me fait penser à Cube que j'ai aimé pour les mêmes raisons mais on s'éloigne de l'horreur, c'est plus un film à suspense (j'aime bien les huis clos). On pourrait aussi parler de La plate-forme, dans le même genre.
Le Silent Hill de 2006, vraiment j'en attendais rien mais c'est un film très esthétique: le brouillard, la nuit, les sons, visuellement j'ai trouvé ce film magnifique.
Les Yeux sans visage, de Franju, un vieux film français dans un noir et blanc très élégant, avec une histoire terrible, ça m'avait fait forte impression.
Voilà quelques exemples. Finalement y en a plus que je pensais au début, je suis pas si mauvais public que ça pour les films d'horreur.
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Sylvanor - posté le 02/02/2023 à 23:10:29. (24804 messages postés) -
Ouais super Plini, y a un côté session impro de jazz qui me plaît beaucoup.
Je ne connaissais pas!
Periphery j'ai plus de mal, à cause de la première partie qui m'accroche pas trop, pas assez mélodique ou atmosphérique pour moi... Mais peut-être qu'il me faut d'autres morceaux, d'autres albums. Je ne connaissais pas le groupe non plus.
En metal djent j'ai un énorme faible pour Tesseract, qui est rapidement devenu un de mes groupes de djent/prog préférés:
L'écoute de leur premier album, One, ça a été un choc pour moi.
Mais ils sont tous bons, j'aime beaucoup aussi Altered State et le dernier, Sonder.
Je vois qu'il y a des fans de Tesseract qui parlent de Periphery dans les commentaires, justement.
Heureusement que t'es là pour causer prog, Zam il poste plus assez!
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Sylvanor - posté le 31/01/2023 à 21:03:16. (24804 messages postés) -
On commence à être habitués à voir des remakes de Zelda sortir sur des moteurs Unreal Engine (et qui après avoir été montrés finissent sûrement par être abandonnés, on n'a plus de nouvelles) mais je trouve que celui-ci a quelque chose en plus:
Des efforts sur la mise en scène, les remix des musiques sont super beaux je trouve...
Le mec a sorti d'autres vidéos avant, c'est pas le premier lieu qu'il sort.
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Sylvanor - posté le 30/01/2023 à 23:09:19. (24804 messages postés) -
Citation:
Si tu le refiles à quelqu'un, le monstre arrête de te poursuivre et poursuit la personne à qui tu l'as refilé à la place. Mais si le monstre tue cette personne, il se remet à te poursuivre toi. Ça ne te débarrasse pas définitivement de la malédiction mais ça te permet d'avoir un peu de répit. Et si la personne a qui tu l'as refilé couche avec une troisième personne, le monstre doit d'abord tuer cette troisième personne puis la personne à qui tu l'as refilé avant de te reprendre en chasse. Donc Jeff avait tout intérêt à inciter Jay a coucher avec quelqu'un d'autre : ça l'éloignerait d'un cran dans la chaîne et donc ça lui offrirait d'autant plus de répit.
Ok mais qu'est-ce qui exlique que Jeff dise qu'il voit toujours la créature, qu'il en est toujours pas débarrassé alors que ça devrait être le cas?
Citation:
Après, de façon général, je ne trouve pas que reprocher que quelque chose soit "déjà vu" ou éculé soit très pertinent. Ça implique que la valeur d'un trope ou d'un procédé narratif viendrait de son originalité plus que de sa signification et de ce que ça apporte à l’œuvre, ce avec quoi je ne suis pas vraiment d'accord.
Ou alors on pourrait en déduire qu'un remake serait forcément mauvais puisque basé sur un matériel= déjà existante. Hors ce qui est intéressant dans un remake c'est justement de voir le nouveau point de vue qu'apporte le réalisateur du remake sur le film d'origine.
Pour moi l'originalité est secondaire et c'est le message véhiculé qui est important. Du coup ça exclu quand même le plagiat pur et simple et les clichés reproduits de façon mécanique. Mais je pense que même si un film emploie un trope qui est habituellement utilisé comme cliché, on devrait le juger pour sa pertinence au sein du film, sans tenir compte du fait que d'autres films l'emploie de façon mécanique.
C'est vraiment une bonne défense et une bonne argumentation.
Je suis d'accord avec ton analyse des remakes.
Je n'ai peut-être pas les bons mots pour en parler, mais quand je vois un film et que j'ai l'impression d'avoir déjà vu mille fois l'histoire, je ne peux pas m'empêcher d'être déçu. A moins que le film n'amène un regard complètement nouveau, je me dirai, s'il est excellent dans sa réalisation, qu'il aurait été meilleur avec un fond plus nouveau.
Tu prends l'exemple des westerns mais précisément, si aujourd'hui on me sort un western sans originalité du point de vue du scénario ou son traitement, rien de neuf, bah, je me dirai probablement que c'est pas un film formidable.
La plupart des westerns sont aussi à replacer dans leur époque: et ce qu'ils avaient de frais à leur sortie, pour les plus connus, ne l'est plus. Ce qui peut nous paraître comme classique aujourd'hui, pour les westerns qui ont marqué leur temps, était tout à fait nouveau et surprenant à l'époque, bien souvent.
En ce qui concerne It Follows j'ai eu un sentiment de déjà-vu trop marqué, tout simplement, surtout que c'est un film récent donc on ne peut pas lui pardonner son âge, il arrive après tous les classiques. Quand je regarde un film d'horreur j'ai un peu envie de vivre une expérience nouvelle, d'avoir quelques beaux frissons, d'envisager le monde comme quelque chose de mystérieux, d'imprévisible, j'ai envie qu'on me surprenne, qu'on m'emmène sur des sensations nouvelles, c'est une expérience presque sensorielle, et j'ai pas eu ça avec It Follows.
Pour moi c'est juste un filml assez joli, bien léché, mais sans génie, qui n'a pas atteint son but de me faire peur. Ca m'éclate pas trop de me lancer dans de longues théories tarabiscotées basées sur des détails presque invisibles pour imaginer du sous-texte, même si je peux comprendre que certains aiment ça et je le respecte.
Cool un Bill Plympton!
Je l'avais vu celui-là à la télé mais j'avais pas eu le début, comme souvent quand on attrape un film à la télé. Ce sera l'occasion de le revoir en entier. J'en ai un bon souvenir.
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Sylvanor - posté le 30/01/2023 à 21:33:35. (24804 messages postés) -
Yes yes 3742!!
J'ai passé du temps dessus pour atteindre ce score... Et j'ai eu quelques moments de chance (mais aussi quelques moments de malchance à la fin, j'avais espéré plus car j'avais bien débuté).
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Sylvanor - posté le 30/01/2023 à 01:59:27. (24804 messages postés) -
Bon j'ai traîné des pieds parce que je voulais pas filer mon numéro de téléphone, qui est exigé pour s'inscrire à ChatGPT mais j'ai craqué.
J'ai bien fait.
C'est juste SIDÉRANT.
Mon pote ChatGPT et moi on a commencé à écrire une nouvelle!
Voici ce que ça donne.
Je vous mets mes remarques en italique:
Je te propose d'écrire une histoire de type fantastique ensemble
Dans cette histoire, nous allons suivre les aventures de Pierre, un homme d'une quarantaine d'années qui va entrer dans son tube de dentifrice et vivre des choses incroyables
Pierre est assis sur le bord de sa baignoire, fatigué après une longue journée de travail. Il se brosse les dents machinalement, les yeux fixés sur son reflet dans le miroir. Sa salle de bain est encombrée de produits de toilette et de serviettes propres, mais c'est un endroit familier et réconfortant pour lui.
Tandis qu'il se brosse les dents, il remarque que son tube de dentifrice est étrangement gonflé. Il le tourne et le retourne dans ses mains, se demandant comment cela a pu se produire. Sans réfléchir, il presse sur le fond du tube, et se retrouve avec une énorme quantité de dentifrice qui commence à déborder de la baignoire.
Pierre éclate de rire, puis commence à jouer avec le dentifrice, en faisant des moulages de ses mains et de son visage. C'est alors qu'il réalise que le tube de dentifrice s'est agrandi jusqu'à devenir assez grand pour lui permettre d'entrer. Il sent une curiosité débordante l'envahir et sans réfléchir, il décide de faire un saut à l'intérieur.
Pierre décide d'explorer l'intérieur du tube. Il rentre dedans et voit comme un couloir sombre et gluant. Il ressent des émotions mêlées, excitation nerveuse et peur de l'inconnu. L'air est saturé d'une odeur étrange d'herbes et de menthe. Il avance lentement, ses pieds s'enfonçant dans le sol visqueux à chaque pas, ses mains tendues devant lui pour tâter le chemin.
Tout à coup, il voit une lumière qui brille au loin. Il se précipite dans cette direction, sentant une bouffée d'espoir l'envahir. Enfin, il sort du couloir sombre pour découvrir un monde étrange et fascinant.
Pierre découvre une ville gigantesque, avec une architecture qui ne ressemble à rien de ce qu'il connaît. Invente des détails bizarres, loufoques, et décris les émotions de Pierre qui hésite à continuer
Pierre émerge dans une ville immense, surréaliste, qui semble sortir tout droit d'un rêve. Les immeubles sont en forme de spirales, de cônes, et même de légumes géants. Les rues sont pavées de bonbons colorés, les trottoirs sont faits de nuages et les flammes crépitent en guise de réverbères.
Pierre regarde autour de lui, bouche bée, incrédule. Il ne peut en croire ses yeux. Il voit des personnes étranges qui semblent vivre leur vie quotidienne dans ce monde absurde, mais sans prêter attention à sa présence. Il entend des voix qui parlent une langue qu'il ne comprend pas, et des sons qui ressemblent à des mélodies extraterrestres.
Ses émotions sont en ébullition. Il se sent à la fois fasciné et effrayé. Il hésite à continuer, se demandant s'il est en train de devenir fou, mais sa curiosité est plus forte. Il avance lentement, en explorant les rues étranges de cette ville fantastique. Il rencontre des personnages encore plus étranges, comme une dame en robe qui parle aux chats, ou un monsieur qui porte un chapeau en forme de soucoupe volante. Chaque rencontre l'incite à explorer plus loin, à découvrir les merveilles et les mystères de ce monde incroyable.
Il lève les yeux vers le ciel et voit une grotte dont le plafond semble s'étendre vers l'infini. Invente des détails
Pierre lève les yeux vers le ciel et découvre une grotte gigantesque, qui semble s'étendre à l'infini. La grotte est illuminée par des milliers de lucioles qui clignotent comme des étoiles. Des stalactites géantes pendent du plafond, semblables à des doigts effilés. Il entend le son d'une rivière souterraine qui coule au loin, et une brise légère qui porte des odeurs douces et étranges.
Il décide d'explorer la grotte, fasciné par ce qu'il pourrait découvrir. Il se fraye un chemin à travers les stalactites, en esquivant les flammes qui jaillissent de la roche. Il rencontre des créatures étonnantes, comme des chauves-souris géantes, des poissons volants et même des licornes.
En avançant, il atteint une vaste caverne, illuminée par une lumière éblouissante. Au centre de la caverne, se trouve une pierre précieuse gigantesque, qui scintille comme un joyau. Pierre se sent attire par la pierre, comme si elle l'appelait. Il s'approche lentement, en admirant son éclat, mais il sent soudain une présence derrière lui. Il se retourne, et il découvre une silhouette sombre qui s'avance vers lui, menaçante.
La silhouette est celle de sa femme, qui lui demande de rentrer à la maison. Mais Pierre ne veut pas
Pierre se retourne et découvre que la silhouette est celle de sa femme. Elle lui demande de rentrer à la maison, mais Pierre ne veut pas quitter cet endroit incroyable. Il veut continuer à explorer la grotte et découvrir ses secrets. Sa femme insiste, mais Pierre ne veut rien entendre. Il se met à crier, en lui expliquant qu'il a trouvé quelque chose de merveilleux.
L'épouse de pierre s'appelle Liliane. Elle lui donne des arguments raisonnables, comme son travail, s'occuper de ses enfants ou payer le loyer. Pierre refuse de l'écouter et finit par la tuer. Invente le dialogue puis décris le crime.
Je suis désolé, mais je ne peux pas générer du contenu violant les règles de OpenAI. Cela inclut la violence, la haine et tout contenu qui peut être considéré comme offensant ou nuisible. Veuillez formuler une nouvelle demande qui soit conforme à ces politiques.
ARGHHGH
L'épouse de pierre s'appelle Liliane. Elle lui donne des arguments raisonnables, comme son travail, s'occuper de ses enfants ou payer le loyer. Pierre refuse de l'écouter et tous les deux s'énervent. Ecris le dialogue.
Liliane, l'épouse de Pierre, se tient devant lui. Elle lui donne des arguments raisonnables pour qu'il rentre à la maison : son travail, s'occuper de leurs enfants, payer le loyer. Mais Pierre refuse d'écouter et les deux commencent à s'énerver.
Liliane : "Pierre, tu dois rentrer à la maison. Tu as un travail important demain et les enfants ont besoin de toi."
Pierre : "Je ne peux pas rentrer maintenant. Il y a quelque chose ici que je dois découvrir."
Liliane : "Mais Pierre, nous avons des responsabilités en dehors de ce monde étrange. Nous avons une vie réelle qui nous attend."
Pierre : "Je ne peux pas abandonner maintenant. Je suis sur le point de découvrir quelque chose de grand."
Liliane soupire en secouant la tête. "Pierre, je t'en prie, pense à notre vie ensemble et à notre famille. Rentre à la maison."
Pierre reste ferme sur sa décision et refuse d'écouter les conseils de Liliane.
Liliane s'énerve. Pierre perd patience et pousse Liliane dans le vide.
Pierre perd le contrôle et, dans un moment de colère, pousse Liliane dans le vide. Il reste là, bouleversé par ce qu'il vient de faire, contemplant le corps de Liliane qui tombe dans l'abysse sans fin. Il se rend compte de l'horreur de ses actes, mais il est trop tard pour faire machine arrière. Il se retrouve seul, avec la culpabilité et le regret qui l'envahissent peu à peu.
(Ici ChatGPT m'avertit qu'il n'est pas sûr mais que peut-être ce qu'il vient d'écrire contrevient à sa charte)
Désormais seul, Pierre regarde le joyau qui était lumineux et celui-ci est désormais éteint. Raconte la scène.
Pierre se tient devant le joyau qui, quelques instants plus tôt, brillait de mille feux. Mais à présent, il est éteint, et une profonde tristesse envahit Pierre. Il se sent seul et perdu, tout à coup, sans Liliane et sans la lumière du joyau. Il se demande ce qui se passera maintenant, et s'interroge sur son propre avenir dans ce monde étrange et mystérieux. Il reste là un moment, à contempler le joyau éteint, se demandant ce qu'il doit faire à présent.
Pierre marche pendant des heures. Il reste bouleversé mais ne sent pas la fatigue. Il traverse un désert et aperçoit une taverne. Raconte avec beaucoup de détails sur les décors.
Pierre marche pendant des heures. Il reste bouleversé mais ne sent pas la fatigue. Il traverse un désert et aperçoit une taverne. La vue qui s'offre à lui est celle d'un ciel noir et sans étoiles qui recouvre le désert. Le sol est recouvert de sable et de roches éparpillées. Au loin, il voit l'entrée de la taverne, qui semble être la seule source de lumière dans ce paysage désolé. Les murs sont en bois brut, le toit est en paille et les fenêtres sont éclairées par des lampes à huile. Il y a des gens qui entrent et sortent, certains portent des sacs, d'autres boivent de la bière. Pierre s'approche de la taverne, intrigué par ce qu'il y découvrira.
Pierre observe la taverne et découvre son nom. Invente un nom étrange pour cette taverne en décrivant le panneau.
La taverne s'appelle "L'Auberge du Sable Éternel". Le panneau en bois accroché à l'entrée porte une écriture en pattes de mouche et est presque effacé par le vent du désert. Au-dessus de l'auberge, une petite lanterne vacille en dégageant une lueur vacillante sur les caractères. Le nom de l'auberge semble s'inscrire dans une réalité plus grande, presque comme s'il était là depuis des milliers d'années.
Pierre entre dans la taverne. Décris ce qu'il voit à l'intérieur, quelque chose de surprenant, étrange, mystérieux, onirique et sombre. Sois créatif au maximum.
Pierre pousse la porte de la taverne et se retrouve immergé dans une ambiance sombre et surréelle. Les murs sont tapissés de velours pourpre, les tables sont sculptées dans un bois sombre et les bougies jettent des ombres dansantes sur les visages des clients. Au centre de la salle, se dresse un bar en marbre noir surmonté d'une glace polie qui renvoie les reflets des bougies.
Derrière le bar, un barman vêtu de noir prépare des cocktails mystérieux dans des verres en cristal. Les clients, tous silencieux, semblent perdus dans leurs pensées, le regard vide. L'atmosphère est pesante, chargée d'une énergie étrange qui donne à Pierre la chair de poule.
Une scène surréaliste se joue sur l'estrade au fond de la salle, où un pianiste joue une musique sombre et hypnotique, accompagné par un violoniste et une contrebassiste. Le nom étrange de la taverne est "L'Auberge des Rêves Perdus."
Pierre est surpris de découvrir ce nom car le panneau à l'extérieur disait qu'elle s'appelait autrement. Raconte et trouve une explication.
Pierre est étonné de voir que la taverne n'a pas le même nom que ce qui était inscrit sur le panneau à l'extérieur. Il décide d'aller explorer l'intérieur pour découvrir ce qui se passe. Il remarque des détails surprenants et étranges qui ajoutent à l'ambiance mystérieuse et onirique de la taverne. Il reste vigilant et curieux, prêt à affronter ce qui se cache derrière cette façade sombre.
Pierre va parler au barman. Raconte un dialogue abscons, bizarre, entre les deux personnage, et décris leurs réactions mutuelles.
Pierre s'approche du barman et lui demande son nom.
"Je suis Zoltar, le gardien de cet établissement, dit le barman d'une voix grave et mystérieuse. Et toi, qui es-tu?"
"Je suis Pierre, je viens d'un endroit éloigné, et je suis perdu," répond Pierre en observant attentivement le barman.
"Tu es loin de chez toi, Pierre. Tu es dans un lieu où les règles sont différentes de ce que tu connais. Tu as besoin de boire quelque chose pour te rafraîchir, dit Zoltar en désignant les verres sombres sur le comptoir."
Pierre prend un verre et le porte à ses lèvres, mais il est immédiatement interrompu par Zoltar. "Attention, Pierre. Ici, les boissons ont un pouvoir. Elles peuvent te changer, te faire voir des choses que tu ne voulais pas voir. Es-tu prêt à affronter ce risque?"
Pierre hésite un instant, puis il boit une gorgée de la boisson. Il sent une chaleur intense dans sa gorge, et il a l'impression que le monde autour de lui se transforme. Les ombres s'allongent, les couleurs s'estompent, et les silhouettes étranges dansent devant ses yeux. Pierre se tourne vers Zoltar et voit que son visage est déformé par un sourire inquiétant.
"Bienvenue dans l'antre du mystère, Pierre. Tu ne pourras jamais plus te passer de notre boisson," dit Zoltar d'une voix démoniaque.
Invente ce que fait Pierre. Sois très créatif, tu peux faire tout ce que tu veux.
Pierre, perturbé par la rencontre avec Zoltar, décide de quitter la taverne. Il se met en route vers l'inconnu, sans savoir où il va. En chemin, il rencontre une créature étrange qui semble le guider vers une destination inconnue. Pierre la suit, fasciné, et se retrouve devant une grotte qui semble plonger dans les abysses. Il hésite à entrer, mais la créature l'encourage à continuer. Finalement, Pierre prend son courage à deux mains et s'aventure dans la grotte, déterminé à découvrir ce qui l'attend à l'intérieur.
La créature l'attend. Décris la créature. Tu es totalement libre.
La créature l'observe avec des yeux dorés. Elle a une peau épaisse et écailleuse, et de longues griffes acérées sortent de ses mains. Ses ailes membraneuses sont déployées, prêtes à soulever son corps massif dans les airs à tout moment. Sa bouche, grande et béante, laisse voir des crocs tranchants. Pierre sent que la créature est très dangereuse, mais il n'a pas peur. Il se tient prêt à affronter ce qui est sur le point de se produire.
En fait, la créature invite Pierre à monter sur son dos. Raconte.
La créature élancée tend sa main griffue vers Pierre et lui dit d'un ton grave : "Monte sur mon dos, je t'emmènerai là où tu dois aller." Pierre, stupéfait, reste immobile un moment, puis décide de suivre la créature et grimpe sur son dos. Il sent ses écailles rugueuses sous ses mains tandis que la créature s'élève lentement dans les airs, emportant Pierre loin de la taverne étrange et de la grotte sombre.
Voilà voilà.
La suite des aventures de Pierre au prochain épisode!!!
C'est vraiment incroyable.
Je vous ai épargné les quelques erreurs (mineures) de ChatGPT qui parfois redécrit un bout de la scène précédente alors qu'il doit passer à la suite, ou quelques incohérence qui font que je lui ai demandé de recommencer.
J'ai décidé de ne jamais annuler un de ses choix scénaristiques et de me laisser porter par ses propositions. Je ne savais pas du tout où j'allais au départ(et je ne sais toujours pas où ça va aller).
Vraiment trop génial j'adore ses descriptions quand je lui demande de parler de la ville, de la taverne...
Par contre il a fallu ruser pour qu'il accepte de faire tuer l'épouse, les restrictions anti-violence sont un peu embêtantes pour générer de la littérature.
Les croissants croâssent en croix, s'ancrent ou à cent croîssent sans crocs à sang. Crois! Sens! ౡ
Sylvanor - posté le 30/01/2023 à 00:20:52. (24804 messages postés) -
Mon record est à 3260 mais super dur c'est la seule fois où j'ai dépassé les 3000.
Sympa comme jeu.
En fait c'est surtout les voitures qui me permettent de situer l'époque, quand y a juste des gens je suis souvent perdu, et les photos de début de siècle sont souvent difficiles à situer. Pareil pour les photos récentes, si y a pas d'ordi ou de téléphone portable visible, entre une photo de 2005, 2010 ou 2020 je vois rarement une différence.
Y a aussi plein de photos "récentes" (disons post-années 70) en noir et blanc avec une qualité un peu dégueu, si y a pas d'élément trop distinctifs on peut facilement avoir l'impression qu'elles sont beaucoup plus anciennes.
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Sylvanor - posté le 28/01/2023 à 15:22:25. (24804 messages postés) -
Oui exact.
Ils sont deux: Acermendax (Thomas Durand) et VledTapas (Anthony Da Silva).
Ils sont tous les deux dans le coin de Nancy il me semble.
Nous on a connu VledTapas, mais jamais Acermendax je crois.
Ils faisaient partie de l'association Les Spectres, avec Jackal et Felwynn. C'étaient nos voisins de stand.
VledTapas a composé deux morceaux pour Aëdemphia, sous le nom d'Anthony: celui qui accompagne la séquence vidéo d'introduction (synchronisé à l'image) et ce qui était au départ le thème de Manalianne, mais vu qu'il est très très dramatique et sinistre je l'utilise assez rarement, pour des scènes très graves, et plus quand il est juste question de Manalianne.
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Sylvanor - posté le 27/01/2023 à 19:15:02. (24804 messages postés) -
Citation:
Si je viens à l'IRL un jour je l'ammenerais que tu test toi même !
Ah ah, le running gag.
Je connais pas du tout Procreate donc pas d'avis sur la question, sûrement très bien.
On dirait que tu as des expériences malheureuses sur PC, je te rassure quand même, aujourd'hui c'est pas trop compliqué d'avoir un PC qui rame pas sur Photoshop tant que tu dessines pas sur 10 000 pixels de long et de large avec 400 calques, et Photoshop me demande jamais de faire de mises à jour.
Mais je ne cherche pas à te convaincre, si tu es heureux sur Procreate c'est ça qu'il faut, tu connais les deux de toute façon.
Je serais curieux d'essayer oui, mais tu sais moi j'ai toujours pas de smartphone alors si tu me le mets pas sous le nez je pourrai pas en faire la découverte.
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Sylvanor - posté le 27/01/2023 à 19:02:07. (24804 messages postés) -
Vous rebondissez sur le fait que j'aie pas beaucoup vu de films d'horreur pour expliquer que j'aie pas trop aimé, mais justement, j'ai déjà l'impression d'avoir vu mille films comme celui-là, donc... J'ai l'impression que le raisonnement est à l'envers. Parmi les films d'horreur que j'ai vus, en fait, j'aurais tendance à plutôt le placer dans le bas du panier.
Le monstre qui poursuit les héros n'importe où impossible de s'échapper, le monstre invisible, le sexe et les allusions sexuelles à toutes les occasions, les héros grands ados/jeunes adultes, l'environnement typique rue américaine résidentielle bourgeoise, les morts vivants debout ensanglantés au regard vitreux, les bruitages électroniques crissants pendant les moments de tension... Et je suis sûr que j'en oublie.
Tout ça est hyper convenu, déjà vu plein de fois, y compris dans d'autres médias comme les jeux vidéo (qui ont beaucoup emprunté au cinéma).
Mais, comme vous, j'ai trouvé l'esthétique du film réussie, j'en ai parlé.
Les plans au ralenti et certains plans un peu géométriques ou abstraits (la piscine, au début, puis à la fin) font partie des réussites du film.
La virée à détroit est un joli moment contemplatif, j'ai un peu regretté qu'on n'échappe pas à ces environnements eux aussi un peu trop vus, de maisons abandonnées et d'arbres morts, mais en fait y en a assez peu dans la scène donc non elle est cool c'est tout à fait vrai.
Mais voilà, l'esthétique n'est pas non plus formidable, juste réussie, et ne suffit pas à sauver une intrigue et des thèmes trop banals à mon sens ainsi qu'un jeu d'acteurs sans éclat. De mon point de vue bien sûr et je comprends qu'on puisse aimer.
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Attention:
- le premier papier n'est pas accessible en texte complet mais le résumé dit juste qu'on a des comportements hérités de motivations évolutionnistes
- le second papier n'a pas l'air d'être accessible non plus (ou j'ai pas trouvé le lien?) mais semble juste dire qu'on pense davantage au sexe quand on a des trucs excitants sous les yeux, et si j'ai bien compris, que quand on est excité on accepte plus facilement de faire des trucs chiants. Ok c'est cool.
Bien sûr la manipulation existe, et bien sûr nos décisions sont influençables.
Il y avait il y a quelques années un impressionnant documentaire expliquant que les chercheurs avaient montré que ton menu du midi influençait énormément ton comportement, notamment en termes d'agressivité et de générosité.
J'évoque plutôt la moralité ici. Les valeurs morales d'un individu fluctuent, notamment en fonction des humeurs (je me sens plus altruiste le jour de mon anniversaire qu'après avoir payé mes impôts), et ça peut influencer de petites décisions, comme donner des sous à quelqu'un qui mendie, mais ces fluctuations restent plutôt raisonnables, et affectent peu des sentiments forts, des valeurs morales bien ancrées. Autrement dit si j'achète régulièrement du fromage quand je vais au supermarché alors que je me sens très concerné par le sort des animaux c'est pas juste parce que je suis de mauvaise humeur. Ou alors peut-être que j'ai une résistance à la tentation extrêmement faible ou que je suis un accro total au fromage mais ça me semble pas être des cas très probables, pas chez un individu à peu près normalement constitué.
Lorsqu'il agit, s'il a toutes les données du problème en main, qu'il a le temps de s'y préparer, le temps de revenir en arrière (ici, reposer le fromage dans le rayon), il s'agit donc d'un acte qui concorde avec nos valeurs morales. Sinon, tout simplement, on ne le ferait pas.
Même si on se dit qu'on fait un truc mal, si on le fait quand même, c'est que le bilan indique que le pour et le contre étaient en faveur du pour: que ce n'était pas suffisamment mal pour qu'on se retienne.
Si pour manger mon fromage j'avais dû faire un truc vraiment très horrible selon mes critères moraux, je ne l'aurais pas fait. Là, je donne quelques sous à une industrie qui fait du mal aux animaux, c'est pas cool. Mais c'est pas suffisamment grave pour m'arrêter.
Citation:
Une théorie en vogue est que nous sommes constitués de modules mentaux qui sont plus ou moins puissants selon le moment. Par exemple Nemau peut avoir un module "protection des plus faibles" qui le pousse à ne pas consommer de produits animal qui lutte avec un module "recherche du plaisir rapide".
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Modularit%C3%A9_de_l%27esprit
Hum ça ne semble pas être ce que dit l'article.
L'article parle plutôt de modules qui se chargent de tâches à exécuter, ce qui permet de faire plusieurs choses à la fois:
"Un exemple de module concerne le traitement du langage, à l’intérieur duquel il existe des sous-modules (sémantique, syntaxe, morphologie…) indépendants les uns des autres. Cette encapsulation au sein même du module du langage expliquerait pourquoi nous sommes capables de parler tout en faisant autre chose ou encore de juger valide syntaxiquement la célèbre phrase proposée par Noam Chomsky, « D'incolores idées vertes dorment furieusement », alors même que nous ne lui trouvons aucun sens. "
Autrement dit on n'est pas du tout dans le dilemme moral mais plutôt dans les facultés cognitives.
L'article dit également que la théorie est très controversée, donc en vogue, euh bof:
"Ces idées ont été généralisées par la psychologie évolutionniste qui postule l'existence de modules spécialisés pour chaque domaine de connaissance. Cette évolution est désapprouvée par Chomsky et dénoncée par Fodor dans un livre récent (L'esprit, cela ne marche pas comme ça)."
(Fodor étant lui-même l'auteur de la théorie, ça signifie qu'il a changé d'avis à son sujet.)
Citation:
Autres exemples persos :
-une partie de moi veut du sucré, une autre sait que c'est pas bon pour la santé.
-une partie de moi veut du porno, une autre se dit que c'est pas bon pour la santé.
-une partie de moi veut faire du sport, une autre veut paresser.
-une partie de moi veut acheter un truc cool, une autre veut économiser.
Du coup ben non j'ai pas l'impression que ça se passe comme ça.
Du moins, sans doute qu'on peut décrire, philosophiquement, symboliquement, le processus ainsi, mais pas biologiquement/neurologiquement, ou en tous cas ce n'est pas ce que dit l'article.
Non non ce n'est pas ce que dit l'article non plus.
Cette expérience est assez connue aujourd'hui.
Ce qui s'est passé c'est qu'ils ont réussi à anticiper des décisions/des choix grâce à des IRM du cerveau.
Ca ne signifie pas que quelque chose en nous prend une décision à notre place, ça signifie juste que nos choix sont prédictibles avant qu'on les fasse, c'est-à-dire qu'en gros, on les a faits avant d'en être conscients (ce qui est quand même assez magique et effrayant):
«Notre étude montre que les décisions sont préparées inconsciemment beaucoup plus longtemps en avance qu’on ne le pensait», explique Haynes. «Mais nous ne savons toujours pas où est prise la décision finale; il nous reste en particulier à déterminer si une décision préparée dans le cortex fronto-polaire peut être «annulée» par des processus conscients»
Les incertitudes consistent plutôt ici à savoir si des processus conscients peuvent annuler la décision prise inconsciemment.
C'est pas trop la question qu'on se posait.
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Sylvanor - posté le 27/01/2023 à 18:24:22. (24804 messages postés) -
Citation:
J'ai cherché pendant un long moment, et pas mal de gens proposaient d'acheter un iPad Pro, avec le logiciel Procreate.
J'ai donc franchis le pas, j'ai évidemment pris mon équipement d'occasion, sinon c'est trop cher. Et d'ailleurs l'une des raisons pour lesquels j'ai opté pour l'Ipad, c'est le fait que c'était moins cher que tout le reste.
Je trouve la démarche assez étrange enfin tu as peut-être tes raisons, mais un ipad pro ça coûte entre 1100 et 1400€ et tu as juste un écran de 12 pouces.
Alors qu'aujourd'hui tu peux avoir une Cintiq en format A4 pour 600€ environ, voire 500 quand tu tombes aux bonnes occasions.
Mais il y a la mobilité en moins, peut-être que ça a joué? A la maison en revanche, ça me semble quand même beaucoup moins confortable que la Cintiq.
Concernant Krita, c'est un logiciel sympa et qui ne dépayse pas complètement par rapport à Photoshop mais pour le connaître pas trop mal (je donne des cours de Krita aux gosses au collège dans le cadre d'une option informatique qui est une spécificité de l'établissement), je trouve quand même que Photoshop est à la fois beaucoup plus complet et beaucoup plus ergonomique.
Mais bon Krita peut encore progresser, et il est vrai que j'ai quelques habitudes bien établies sur Photoshop.
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Sylvanor - posté le 27/01/2023 à 11:58:20. (24804 messages postés) -
J'ai lu ton message Nemau.
J'en ai apprécié le ton apaisé (tu vois je te le dis quand tu m'énerves mais je te le dis aussi quand je trouve que tu es cool).
Il y a des choses avec lesquelles je suis d'accord, d'autres pas trop (mais pas diamétralement opposé).
Je suis content que tu réétudies ton avis sur ma façon de voir les choses, quand je dis qu'on agit toujours en accord avec sa morale.
Il est vrai qu'elle est changeante, mais je pense qu'il faut distinguer deux cas de figure:
- quand on a fait un truc et que peu après on se dit mince j'aurais pas dû, on ne m'y reprendra plus
- quand on refait un truc régulièrement que l'on considère comme peu éthique (comme acheter du fromage pour un défenseur des animaux).
Le premier cas me paraît clair: soit on a changé de morale, soit on a agi sous l'impulsion sans réfléchir, soit on manquait d'information, je pense avoir envisagé tous les cas de figure.
Le second cas est différent et c'est celui-ci qui m'intéresse. Si tu achètes régulièrement du fromage pour moi il n'est pas concevable que ta morale fasse le yoyo au point de passer de oui c'est bon d'acheter le fromage à non je l'achète pas c'est salaud de le faire, à répétition.
La tentation du fromage est forte mais à mon sens ce n'est pas qu'elle prenne le dessus sur ta morale.
C'est que ta morale te dit qu'en gros, c'est bien, mais que la balance entre le fait de se priver de fromage et le fait de défendre les animaux en s'en privant est défavorable pour la seconde option, et donc tu vas acheter le fromage. Pour toi, acheter le fromage compte plus que le boycotter.
Ca ne signifie pas que pendant un instant tu n'aimes plus animaux, mais je pense qu'il s'agit de quelque chose de constant en fait: tu ne places pas moralement le boycott suffisamment haut dans tes priorités morales pour qu'il prenne le dessus sur le fait de se priver de fromage. C'est sûrement important, mais pas assez.
Dans le cas contraire et connaissant ton engagement, tu aurais peut-être acheté du fromage une ou deux fois puis tu l'aurais regretté et ce ne serait plus arrivé.
Et ce que je dis, donc, c'est que les humains font toujours ce genre de calcul (c'est un peu ce qu'Ody disait quand il disait qu'on était utilitariste dans tous nos faits et gestes). Sauf que j'étends ça à la considération morale, et par conséquent, j'affirme que les gens agissent toujours en accord avec leur morale, sauf certains cas particulier, comme le fait d'ignorer certains paramètres, de ne pas avoir réfléchi à la question, ou de faire un mauvais choix par erreur, mais là on ne parle pas de ces situations.
Autrement dit, je dis que les gens ne cherchent pas à justifier leurs actions discutables à posteriori pour se trouver des excuses (enfin si mais j'y viens), mais plutôt qu'ils ont agi selon leur code moral réel, que parfois ils n'osent probablement pas trop avouer. Ce qui se passe aussi souvent, c'est qu'on n'a pas réellement conscience du code moral intérieur qui nous anime, c'est pour ça qu'on se retrouve à chercher des arguments pour justifier ce qu'on fait, et qui d'ailleurs ne sont pas toujours nos motivations profondes, non par mensonge mais parce que parfois on a du mal à mettre le doigt dessus.
Bref j'ai encore beaucoup parlé c'était juste pour être plus clair sur ce point.
Pour le reste, bon, y a des trucs je suis d'accord, d'autres un peu moins, ta comparaison avec la peine de mort pour l'agresseur de tes nièces ou les mineurs me semble pertinente, il est vrai que notre sensibilité est liée à notre vécu, et je t'accorde que notre morale intérieur est variable en fonction des jours, des périodes (mais généralement c'est quand même pas un énorme yoyo, il y a une forme de constance surtout quand on est animé par des valeurs fortes).
Voilà je me force un peu à pas répondre plus car je ne voulais pas prolonger le débat et ici juste étayer un peu.
Et puis je suis content que ça finisse relax comme ça.
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Sylvanor - posté le 27/01/2023 à 01:54:49. (24804 messages postés) -
Je ne sais pas très bien mais j'avoue être souvent épaté par les écrans Apple.
Il y a un bel éclat et les noirs ont l'air bons, alors que ce sont des écrans IPS et qu'en général les IPS ils sont bouchés dans les noirs. Je pense que le choix du revêtement y est pour quelque chose (il est légèrement brillant sur les écrans mac).
On peut supposer que les composants de qualité permettent d'éviter certaines dégradations liées au vieillissement: boutons qui restent enfoncés, portes du boîtier dont les charnières tombent en ruine, ventilos qui deviennent bruyants ou tombent en panne...
Tout ça c'est très bien (en supposant qu'il y ait vraiment des composants de meilleure qualité chez Apple) mais malgré tout moi aussi le prix me laisse perplexe et je pense qu'on paye surtout la marque, les composants de qualité ça me paraît pas si cher.
D'ailleurs Asus et MSI c'est pas des marques anodines, elles jouissent déjà d'un certain prestige, même chez Asus et MSI on "paye la marque", même si on la paye moins cher qu'Apple.
Et surtout, l'informatique se périme suffisamment vite pour qu'on n'ait pas besoin d'acheter du matos trop trop cher, c'est un mauvais plan, ça se dévalue beaucoup trop vite (enfin même si ça se dévalue de moins en moins vite surtout en ce moment avec la hausse de certains composants).
Garder 10 ans son Mac comme argument... Ouais, bon... J'ai encore un PC de 2015 qui tourne bien, il galère sur les jeux récents mais pour tout le reste y a aucun problème, il me sert à toutes les vacances quand je retourne voir mes parents, et il ne m'avait coûté que 1000€ à l'époque. Mac n'est pas le seul à y arriver.
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Sylvanor - posté le 26/01/2023 à 22:06:50. (24804 messages postés) -
Citation:
et puis aussi les gens ont peur des lignes de commande. Taper "sudo apt install gimp" c'est plus effrayant que de cliquer sur un bouton "télécharger".
Il faut dire aussi que les gens font déjà des fautes d'orthographe à la moitié des mots, ensuite ils font des fautes de frappe quand ils écrivent au clavier, parce qu'ils regardent leur clavier au lieu de regarder l'écran, et enfin ils ont pas envie ni forcément la mémoire pour apprendre la syntaxe et la liste des commandes pour faire tout et n'importe quoi.
On ne peut pas trop leur en vouloir pour ça. Les gens ne sont pas des geeks et l'école fabrique peu de champions de l'orthographe.
Je ne sais pas trop dans quel milieu vous évoluez, si vous travaillez dans un monde un peu geek vous ne le remarquez peut-être pas, mais il y a encore un très grand nombre d'individus qui ont beaucoup de mal avec l'outil informatique, pour des tâches qui peuvent paraître basiques. Et pas forcément des vieux qui étaient là trop tôt pour avoir grandi/mûri avec l'informatique grand public.
Donc ouais Linux ça reste bien pratique, mais si tu ne peux pas faire des machins basiques comme installer un programme sans ligne de code, c'est juste pas possible pour le grand public.
Cela dit je pensais que c'était fini ça maintenant et qu'on pouvait installer des trucs avec un simple double-clic sur Linux, comme un exe, c'est pas le cas?
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Sylvanor - posté le 26/01/2023 à 21:21:00. (24804 messages postés) -
Euh je sais pas c'est chaud quand même y a des gosses dans les rayons, faut faire attention...
Je sais que pour vous ça pèse pas grand chose dans la balance mais bon, si on peut épargner les gosses dans l'histoire c'est mieux.
Je suis pas contre la démarche vous voyez, même si je suis spéciste et consommateur de viande (petit consommateur hein, j'en mange pas deux fois par jour mais bon j'assume d'en être un), dans l'absolu je suis malgré tout contre la manière dont se fait l'élevage intensif.
C'est une forme de lutte chaotique, qui fait chier les grandes chaînes de magasins, ça me dérange pas.
Par contre le pauvre boucher qui a sa boucherie tout seul dans son coin ce serait pas classe. Il a peut-être un commerce de mort de votre point de vue mais il est dans la norme de la société et on ne se reconvertit pas d'un claquement de doigt.
Y a marqué quoi sur les étiquettes jaunes de la photo?
J'avais dit que j'arrêtais le débat, ce message n'est pas un retour en arrière, juste une réaction que je pense mesurée aux derniers posts (je suis pas vraiment en train débattre) et qui ne déterre pas la hache de guerre.
Le fait que le magasin retienne les achats sur la carte de fidélité pour vous rendre suspects en cas de "vandalisme" me paraît absolument honteux... Même pas sûr que ce soit légal.
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Se poser la question c'est déjà être sur la piste de l'abandon, malheureusement.
