|
|
|
||||||||
|
|
 Chat |
|
Statistiques
Liste des
membres
Contact
Mentions légales
281 connectés actuellement
30832055 visiteurs
depuis l'ouverture
3543 visiteurs
aujourd'hui
Partenaires
Tous nos partenaires
Devenir
partenaire
The Man of the Situation
❤ 0 Argh… des bruits sortis tout droit des RTP pour présenter chaque splash-screen… Ce n’est pas toujours la meilleure façon de bien démarrer la présentation de son jeu mais bon… trop tard, c’est déjà commencé. Donc immédiatement après ces splash-screens très psychédéliques, nous avons droit à un menu de sélection tout autant étrange. On distingue bien que son auteur l’a fait sous Paint, ne nous le cachons pas. Les bonus sont peu compréhensibles : je cite un dénommé Exploiteur : « Voila le Tilimits’ game! Rapporte moi mes 15 Tilimits et le tour est joué!Prend mon Balloon Fly » … ga ? Bon… après s’être aperçu que l’on ne comprenais rien, fait F12 et s’être retapé tous les splash-screens dont le dernier au bruit fort douteux, nous sommes finalement prêts à jouer au jeu.
Rah ! Là, l’auteur m’a de son côté. Le jeu peut être le plus horrible possible, une zik de Banjo Kazooie en arrière-plan, toutes les chances sont de son côté ! Poursuivons maintenant… alors on incarne Tmots (The Man of the Situation sans doute), jeune garçon de 17 ans (raaah… l’âge parfait pour un héros). Il réside à Sénile Town et il n’aime pas les vieux. Sa première quête est d’aller voir sa grand-mère alors je vais la voir moi… j’écris en même temps que je joue c'est merveilleux… hahaha… bon tout le monde s’en fous alors je poursuis. C’est dans des jeux comme celui-ci que l’on remarque l’influence « AdA/John McSpike », c’est-à-dire l’interaction avec des objets de la maison, des splash-screens "stupides" et les nombreux gags (d’ailleurs, j’ai pu reconnaître le chipset d’intérieur, une ou deux musiques et quelques sons usées dans John McSpike de Saturnome). Alors le scénario peut paraître peu compliqué et peut sembler incompréhensible à la fois. Après avoir fait plusieurs sous-quêtes pour sa grand-mère, Tmots craque et fait une mauvaise blague sur un vieux ! "OMG OMG !!" me direz-vous, eh oui. Mais soudainement, revirement de situation, notre insulteur de vieux préféré se retrouve projeté dans une autre dimension dont la fonction se traduit comme un centre correctionnel pour les insulteurs de différents types de personnes dont celles âgées. Il va devoir suivre le droit chemin et devoir faire semblant d’être heureux en mangeant d’horribles gâteries préparées par des vieilles personnes et ce, même s’il a les yeux larmoyants et la tempe qui saute. En fait non, mais j’aimais bien cette image et puisqu’elle se porte bien au contexte pourquoi pas ? J’espère ne pas trop vous avoir embrouillé avec mon interprétation du scénario. Si c’est le cas, allez lire la présentation de Neothor plus haut dans ce topic.
Musicalement, le jeu reste ordinaire. Rien de bien impressionnant pour ce que j’ai pu entendre. Bref, un plus pour les musiques tirés de Zelda Ocarina of Time et Banjo Kazooie que j’adore entendre ^^ Au point de vu graphique, même chose que la musicale, quelques panos sympas par-ci, par-là mais je ne crois pas que le but de l’auteur était de nous ébahir… enfin, si ce l’était, ça n’a pas fonctionné.
Le jeu est plutôt moyen mais il contient quand même quelques bonnes blagues ou de jolies trouvailles comme la vieille qui veut jouer à cache-cache ou encore le gérant et son « Rompez-vous ! » XD on passe un bon moment. Malheureusement, ce qui déplait, c’est la lourdeur du rythme de jeu. Par exemple, pour s’inscrire à je-ne-sais-plus-trop-quoi, il faut trouver des papiers dans la salle de bains. Mais il y a un mec avec une tête de lapin qui réclame de la bière pour nous laisser entrer. L’autre mec qui nous fourni la bière demande en échange une faveur (je l’ai trouvé bien bonne celle-là =P) et la fille qui nous donne une faveur pour l’autre mec veut que l’on retrouve son livre qui contient une faveur. Donc en résumé, il faut trouver un livre, pour trouver une faveur, pour trouver de la bière, pour entrer dans les toilettes pour finalement obtenir ces fameux papiers. « Comment je fais pour traverser la rue ? » - « Il faut que tu fasses la grande roue huit fois, ensuite tu apprennes à jouer du banjo, après tu t’éclates la gueule sur le trottoir, sans oublier que tu dois bouffer six ananas en récitant une fable de Lafontaine et finalement tu vas pouvoir traverser la rue. » C’est ce que j’en ai retenu voilà…
Même bémol pour les temples et les combats. Pour aller à un tel endroit, il faut atteindre le niveau 7 mais pour ce faire, tu dois tuer 22 monstres. Link128 avait trouvé un moyen bien plus simple pour monter de niveau dans IParadise 1 : courir autour d’un rocher 150 fois. Bref, tous ces éléments qui ajoutent du poids sur les épaules du joueur et qui font qu’on se lasse à un moment. Je sais que c’est pour parodier ce phénomène mais à un certain point, ça peut en saouler quelques-uns, dont moi.
J’ai joué à de multiples jeux pseudo-humoristiques qui m’ont déplu mais celui-ci m’a bien amusé. Je souhaite bonne continuation à Neothor dans ses projets futurs, ceci n’est pas un mauvais départ ❤ 0 Pfiooooou je viens de le finir, quand même c'est un sacré jeu ^^
Jusqu'a maintenant, j'ai telechargé 11 jeux sur Oniro. ❤ 0 MMH bon test ! | |||||||||||||
Merci de ne pas reproduire le contenu de ce site sans autorisation.
Contacter l'équipe - Mentions légales